Quand une élève-pirate qui a du coeur, veut montrer sa valeur

Hypathie est élève à l’école du Fier Cachalot, l’école d’élite de la piraterie. Elle voudrait montrer que malgré son physique, elle est aussi courageuse que ses parents. Elle va en avoir l’occasion dans une aventure désopilante.

« Dans tout le village et dans toute l’école, on m’appelle « la petite Hypathie » à cause de ma taille, alors que j’aimerais quelque chose comme « Hypathie la Terrible » ou « Hypathie la Reine des mers ». » Elle trouve cela vraiment dommage que chez les pirates il ne suffise pas de revendiquer un titre pour que les gens l’utilisent.

Hypathie, élève à l’école du Fier Cachalot, rêve donc de devenir une grande pirate malgré son physique loin d’être impressionnant. En leçon de cartautrésorographie, elle apprend que le terrible capitaine El Diablo a jadis trahi son équipage et s’est enfui avec le butin. Et elle découvre surtout que ses parents faisaient partie de cet équipage.

Pour réparer cette injustice et pour montrer sa valeur, Hypathie se lance à la recherche du trésor perdu avec une équipe de bras cassés… Elle veut prouver qu’elle est la digne héritière de Baldür Barbe-Dure, un fier flibustier scandinave, descendant direct des Vikings. Sa mère, Xénia Barrucada, elle, est grecque.

Ce livre plein d’humour sur le monde de la piraterie est à découvrir dès 9 ans. Les lecteurs plongeront dans cette aventure avec plaisir grâce au texte très drôle. Ils s’identifieront facilement à cette héroïne qui a la chance de suivre des cours de drapeaulogie sur un bateau échoué.

L’école du Fier Cachalot, d’Anne Langlois, illustré par Joëlle Dreidemy, éd. Nathan, 144 p., 11,95 euros. Dès 9 ans

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