Un coupable idéal raconte l’histoire de Daisy et Hazel, deux amies qui créent un club de détectives dans un pensionnat au début du XXe siècle, en Angleterre.
Angleterre, 1934. Deux élèves de l’école de filles « Deepdean », Daisy Wells et Hazel Wong fondent leur agence secrète de détectives privés. Peu de temps après, le corps de la professeur de sciences est retrouvé dans le gymnase. Les deux amies qui espéraient débusquer une enquête digne de ce nom sont servies…
Mais, le temps que Hazel aille chercher Daisy, le cadavre a disparu. Dès lors, il ne s’agit pas seulement de résoudre le crime, il faut prouver qu’il a eu lieu, avant que le meurtrier n’agisse à nouveau et tue quelqu’un d’autre… Chaque minute compte car le coupable est là, dans cette école…
Daisy et Hazel mènent l’enquête et démasquent la responsable du meurtre. Mais, cette dernière est vraiment prête à tout pour cacher ses secrets enfouis de son passé. Ce huis clos devient irrespirable page après page. Une histoire qui mêle enquête, amitié, mystères, le tout dans un pensionnat de filles du début de XXe siècle.
Un roman parfait pour cette rentrée ! Un récit policier où humour et intelligence sont liés, dans une Angleterre austère ; cela fait évidemment penser aux célèbres Sherlock Holmes et Agatha Christie. Les héroïnes n’ont pas froid aux yeux et plairont aux lecteurs qui se reconnaîtront sans aucun doute dans ces deux amies.
Un coupable presque parfait, de Robin Stevens, éd. Flammarion jeunesse, 356 p., 14 euros. Dès 11 ans