Depuis la mort de ses parents, Frankie vit chez sa tante Paulie. Et elles sont bien différentes : la fillette déteste se coiffer et préfère la solitude. Paulie, elle, est élégante, parle beaucoup et organise dîners et fêtes. Pour l’anniversaire de Frankie, Paulie a eu une idée de surprise… Un roman drôle et touchant !

Frankie Zilensky vit chez sa tante Paulie. Et on peut dire que ces deux-là sont bien différentes. Frankie se sent bien mieux seule : faire la conversation l’ennuie. Ses cheveux sont toujours emmêlés : elle trouve que c’est mieux de ne pas se coiffer. Elle est terriblement myope et est toujours de mauvaise humeur.

En revanche, Tante Paulie, elle, est très élégante. Elle a toujours de grandes idées pour enchanter ses journées, comme parler, énormément, ou bien encore organiser des brunchs, des lunchs, des soupers et autres fêtes en permanence. Frankie doit supporter cela au lieu de vivre chez ses parents car ces derniers sont morts.

Alors quand, pour le dixième anniversaire de Frankie, Paulie imagine une surprise détonnante, évidemment rien ne va se passer comme elle l’avait prévu. Pire, les choses vont tourner mal. Mais Tante Paulie, n’est pas du genre à renoncer, jamais. Quitte à frôler la catastrophe… Et Frankie ? Elle va se faire un ami.

Un roman à l’humour contagieux où les majordomes sont les narrateurs. Il est entre autre question de brioche, de concours de beauté et de myopie, le tout saupoudré de cinéma avec une pincée d’amour. Une histoire illustrée par le talentueux Jean-Luc Englebert qui donne vie à cette fillette frisée. Une histoire à la fois drôle et touchante.

Frankie, quel cinéma !, de Marie Chartres, illustré par Jean-Luc Englebert, éd. L’école des loisirs, 208 p., 12,50 euros. Dès 8-9 ans