Voici une sélection non exhaustive de trois mangas édités par Glénat.
L’action se déroule à la fin du XXIe siècle, où une étrange maladie baptisée “Cagaster” fait son apparition. Un humain sur mille est contaminé par ce mal qui le métamorphose en un monstrueux insecte anthropophage. Les deux tiers de l’humanité sont décimés. Ceux qui y échappent vivent dans un désert car la planète a bien changé…
2125, en plein milieu du désert, Kidow, exterminateur de génie, sauve la jeune Ilie dont le père vient de subir une attaque de cagasters. Malgré les mystères qui entourent cette dernière, il décide de la protéger. Un manga violent dont l’histoire, originale, apporte du sang neuf dans le milieu des mangas.
A l’origine, Kashou Hashimoto publie Cagaster sous la forme d’un web manga, sur son blog, refusant des propositions de la part d’éditeurs japonais. Glénat Manga peut donc se targuer de publier ce shônen en exclusivité mondiale ! Cette série en six tomes a été intégralement réalisée par l’artiste pour son propre compte.
Cagaster T.1, de Kachou Hashimoto, éd. Glénat, 208 p., 6,90 euros. Dès 12 ans
Depuis 2012, Kenshin le vagabond a fait son grand retour, notamment par le biais du cinéma. L’auteur, Nobuhiro Watsuki, a profité de ce focus pour se replonger dans l’univers de sa série phare ! Reprenant le scénario proposé pour la version grand écran, il propose ici un remake des premiers épisodes.
Adepte des comics américains, il n’a eu aucun mal à prendre en main cet univers parallèle, replaçant les personnages au design retravaillé dans une intrigue complète en deux tomes. Sans oublier un croustillant “épisode zéro” qui vient compléter le volume…
Ce diptyque ravira autant les fans que le néophyte en quête d’une valeur sûre à découvrir.
Kenshin Restauration T.1, de Nobuhiro Watsuki, éd. Glénat, 160 p., 6,90 euros. Dès 12 ans
Changement radical de style avec ce shojo. Maron, lycéenne de 16 ans le jour, est Jeanne, voleuse de tableaux, la nuit. En effet, grâce à l’aide de l’ange Fin, elle se transforme pour combattre les démons. Son secret la ronge, mais elle ne peut le partager avec son amie Miyako dont le père fait partie de la police.
Et ce n’est pas l’arrivée d’un charmant voisin qui va arranger les choses. Premier grand succès de l’auteure de Princesse Sakura, ce titre, paru au Japon en 1998, était attendu en France. Cette justicière en costume n’est pas sans rappeler Sailor Moon ou les soeurs de Cat’s eye, stars des années 1990. Action, magie et suspense font bon ménage.
Kamikaze Kaito Jeanne, de Arina Tanemura, éd. Glénat, 176 p., 6,90 euros. Dès 10 ans
Faudra que je regarde. C’est chouette !