Quand un déménagement est très compliqué à vivre

Dans ce premier tome de La Fille et le Kibrille, le lecteur fait la connaissance de Maxine. Pas facile de débarquer dans une nouvelle ville et de se faire de nouveaux amis. Et des phénomènes étranges se multiplient : la jeune fille va devoir combattre des monstres qu’elle seule peut voir… Une héroïne attachante et courageuse.

Pas facile de trouver ses marques quand on débarque dans une autre ville. Après un déménagement, Maxine espère se faire des amis dans sa nouvelle école. Mais entre les brutes qui la harcèlent et ses propres peurs, elle a le plus grand mal à faire bonne impression. « Minime » devient son surnom.

Et puis, comme si cela ne suffisait pas, les phénomènes étranges se multiplient autour d’elle, jusqu’à la disparition de Dale, un élève que personne d’autre qu’elle ne semble voir. Pourtant, lors de son aménagement, elle lui a parlé. Elle était même contente de s’être fait un ami si vite…

Bizarre, vous avez dit bizarre ? Ce n’est pas tout ! Bientôt, avec l’aide d’une petite boule de poils qui brille et scintille, mais ne parle pas, Maxine va devoir moins s’inquiéter de l’opinion des autres… que des monstres invisibles qui menacent la ville. Maxine va les nommer les Kibrouilles puisqu’ils semblent bien agir sur le réseau.

Un premier tome haletant qui met en scène une jeune fille bien courageuse. Elle doit à la fois faire face à un harcèlement de la part de certains camarades. Mais (pire ?) elle doit affronter des monstres étranges qu’elle est la seule à voir. Elle va passer pour une folle aux yeux des autres à se battre ainsi… Mais cela en vaut la peine.

La Fille et le Kibrille, dIndia Swift, éd. Jungle, 128 p., 16,95 euros. Dès 10 ans

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