La visite surprise de ses parents n’arrange pas du tout Mackenzie qui a oublié de leur dire que son petit ami est tatoué. Elle doit en trouvé un parfait et joué la comédie. Et si la fiction devenait réalité ?
Dans le premier tome, Bliss Edwards, son diplôme universitaire bientôt en poche, n’est obsédée que par une seule chose : sa virginité… Elle est la seule de son groupe d’amis à ne pas l’avoir perdue. Elle décide que le meilleur moyen de ne plus y penser est de la perdre rapidement. Mais son plan tourne mal : elle fuit, laissant un homme dans son lit…
Une si parfaite comédie raconte comment Mackenzie, dite Max, va devoir s’y prendre avec ses parents qui ont la bonne idée de lui rendre visite. La jeune femme a juste oublié de raconter à ses parents qu’elle a des nouveaux tatouages. Mais, elle a aussi omis de leur raconter qu’elle est danseuse dans un bar en talons aiguille…
Et comme Max ne fait pas les choses à moitié, elle ne leur a pas parlé non plus de son petit ami, une tête de mort tatouée dans le cou, des trous cerclés de métal dans les oreilles. Elle va devoir trouver une solution et vite : sa mère, Betty et son père, Mick, débarquent dans cinq minutes…
Alors, Max trouve une solution : elle trouve un garçon parfait pour faire illusion. Cade, venu à Philadelphie pour oublier Bliss, accepte ce rôle. En revanche, sa prestation dépasse largement les attentes de Max. Les deux jeunes, entre faux baisers, étreintes fictives pourraient bien faire naître d’authentiques sentiments…
Résisteront-ils au désir toujours plus pressant qui les secoue à chaque contact ? Cora Carmack aime par-dessus tout placer ses personnages dans des situations rocambolesques avant de les aider à trouver l’amour. Une fois de plus, elle parvient à tenir son lecteur en haleine avec cette histoire où le rapprochement semble inévitable.
Une si parfaite comédie, de Cora Carmack, éd. De La Martinière jeunesse, 304 p., 14,90 euros. Dès 16 ans