Quand une princesse veut rêver plutôt qu’épouser un prince

Après Le monstre qui n’aimait pas faire peur, les éditions Splash proposent La princesse qui n’aimait pas les princes charmants. Et une nouvelle fois l’humour est au rendez-vous !

La princesse qui n'aimait pas les princes charmants

Comment être heureuse quand on est une princesse mais qu’on n’aime pas les princes charmants ?  Surtout qu’il est impossible pour la princesse d’y échapper. Elle les côtoient à l’école… Où qu’elle aille, un prince est toujours prêt à chanter la sérénade ou à vouloir danser…

Albertine aime rêver SEULE, juchée en haut du grand chêne. La solution pourrait être simple : se débarrasser de tous les princes charmants ! Facile à dire, mais pas facile à faire… Elle a bien tenté de les empoisonner, de leur jeter un sort, mais n’est pas parvenue à ses fins. Enfin c’est le week-end, elle peut rentrer chez elle, au château !

Mais là encore impossible d’être tranquille : des princes charmants l’attendent… Elle les chasse, avec l’aide de son lama apprivoisé. Ce qui entraîne la colère de son père, le roi qui les avait fait venir ! Il lui explique qu’elle doit tricoter des chaussettes. Celui qui pourra les porter sera son futur époux…

Passionnée de nature, Séverine de la Croix aime imaginer des histoires tendres et didactiques emplies d’humour. Un univers qui se rapproche de celui coloré de Pauline Roland : ses illustrations sont vraiment très drôles ! Chaque page réserve son lot de surprises : fous rires garantis !

La princesse qui n’aimait pas les princes charmants, de Pauline Roland et Séverine De la Croix,  éd. Splash/Jungle, 40 p., 8,50 euros. Dès 5 ans

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