Quand des romans ont tout pour plaire aux ados dès 12 ans

Voici trois livres pour les lecteurs dès 12 ans : le tome 3 de la nouvelle saga pour ados de Casterman, Bodyguard, mais aussi le tome 2 de Girl online et Il suffirait d’un signe, un roman touchant sur une malade de la leucémie.

 

Pour rappel, Bodyguard est une agence ultrasecrète spécialisée dans la protection d’enfants de personnalités médiatiques. Sa particularité ? Tous les agents qu’elle emploie sont des adolescents. Car les meilleurs gardes du corps sont ceux que personne ne remarque…

Connor, 15 ans, part pour un safari au Burundi afin de veiller sur Ambre, 16 ans, et son petit frère Henri, tous deux enfants d’un diplomate français. Un séjour de rêve ? Plutôt un cauchemar ! Car rebelles et bêtes sauvages sont en embuscade… Les lecteurs retrouveront tous les ingrédients qui font le succès de la saga : suspense, action…

Bodyguard T.3 L’embuscade, de Chris Bradford, éd. Casterman, 400 p., 15 euros. Dès 12 ans 

Partie en tournée en Europe avec Noah, son petit ami rockeur, Penny, la blogueuse se sent perdue. Loin de chez elle, tout lui manque : sa famille, son meilleur ami Elliot… et son blog, Girl Online. Penny croyait vivre un rêve. Mais est-elle vraiment faite pour partager la vie d’une rock-star ?

Entre le planning ultra chargé de son petit ami, les copains de ce dernier pas vraiment accueillants et les messages de menace des fans jalouses, Penny vit plutôt un cauchemar… Réussira-t-elle à trouver sa place ou finira-t-elle par tout perdre ? La suite des aventures de Girl Online, un succès hors du commun en Angleterre !

Girl Online en tournée, de Zoe Sugg, éd. De La Martinière jeunesse, 416 p., 14,50 euros. Dès 12 ans 

Alors que la rentrée approche, Mia continue de dénigrer la gravité de sa maladie : la leucémie. Elle pense en finir rapidement avec les séances de chimiothérapie et retrouver, au plus vite, une vie normale. De mensonge en mensonge, elle s’éloigne de ses amis et sombre dans la dépression.

Au moment où elle accepte enfin de dévoiler sa maladie à ses proches, elle est confrontée de plein fouet à la réalité et prend peur : elle se met à chercher des signes pour savoir si elle survivra ou non à cette terrible épreuve. Ses amies ont du mal à gérer la situation, et son petit ami finit par rompre.

Il n’y a qu’une personne qui comprenne vraiment les souffrances de Mia : Gyver. Secrètement amoureux d’elle depuis des années, le jeune homme va la convaincre de se battre pour vivre. Un roman qui évoque la maladie et la façon dont on l’accepte, mais aussi et surtout une belle histoire d’amour.

Il suffirait d’un signe, de Tiffany Schmidt, éd. Bayard, 420 p., 16,90 euros. Dès 12 ans

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